La
réforme des
retraites, le non
remplacement d’un
fonctionnaire sur deux,
les annonces de
propositions non abouties
(TVA sociale), ou
empruntées (taxe
Tobin), n’auront donc pas
suffi à notre
majorité
présidentielle pour
sauver cette fameuse note
AAA. Les gesticulations et
les nombreux sommets de la
dernière chance non
plus.
Pourtant,
nul doute que les
chantiers coûteux ne
seront pas remis en
question (aéroport
NDDL, EPR malgré
les premières
conclusions de la Cour des
comptes dans un rapport
à paraître le
31 janvier prochain, etc.)
et qu'on fera une nouvelle
fois supporter les
coûts aux
collectivités
locales et aux classes
moyennes. Des coûts
au goût amer de
l’inconséquence
budgétaire de la
première
moitié du mandat de
Sarkozy...
Et
quelles conclusions
tire-t-on de cette
situation ? Relancer
et retrouver la
croissance,
impérativement, et
limiter l'endettement. Une
fois de plus,
l’évidence que
l’endettement peut servir
à développer
une autre forme de
croissance, soutenable,
créatrice d’emplois
et de bien être pour
le plus grand nombre, sera
occultée.
Il s’agit pourtant des
recommandations de l’ONU
et du PNUD pour le
prochain G20
présidé
cette année par le
Mexique...